De gauche à droite : Dimitri Tsingakis (CRAIM), Jean Melançon (AGSICQ), Sonia Béland (ASCQ), Jean Bartolo (AGSICQ), Alexis Beauchamp (RECO-Québec)
Entente de collaboration
Un pas de géant pour la sécurité civile
Le 21 mai 2022 – Après plusieurs années de collaboration, quatre associations ont décidé d’officialiser leur partenariat afin de faire avancer le développement d’une culture de sécurité civile sur l’ensemble du territoire québécois.
De nos jours, les évènements d’exception sont de plus en plus fréquents. C’est pourquoi il faut être préparé et outillé pour réagir adéquatement lorsqu’ils surviennent – en assurant la continuité des opérations essentielles – pour rétablir la situation ensuite.
Actifs dans les quatre dimensions de la sécurité civile : prévention, préparation, intervention et rétablissement, l’AGSICQ, l’ASCQ, le CRAIM et le RECO-Québec veulent développer une approche globale qui bénéficiera non seulement à leurs membres, mais aussi à l’ensemble de la population québécoise.
« Si une telle entente est conclue aujourd’hui, c’est parce que nos organisations sont conscientes qu’il faut agir dès maintenant pour faire face aux différents risques qui menacent la sécurité de nos concitoyens », observe Jean Melançon, coprésident de l’AGSICQ.
La présidente de l’ASCQ Sonia Béland, mentionne « que le fait de collaborer avec les autres associations facilitera le cheminement de nombreux dossiers et se traduira par un accroissement de la résilience des organisations ».
« En favorisant un meilleur partage de l’information, on va sensibiliser un plus grand nombre d’acteurs en sécurité civile à l’importance de mieux gérer les risques présents sur leur territoire », renchérit Dimitri Tsingakis, président du CRAIM.
De son côté, Alexis Beauchamp, président de RECO-Québec, est d’avis que le partage de l’expertise de chacune des associations permettra de faire un pas de géant en matière de continuité des opérations.
L’entente-cadre vise entre autres le partage d’information et la consultation des parties représentées, par la formation d’un comité consultatif.
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